Danny Cavanagh, président du SCFP-Nouvelle-Écosse : « Si les coupures de trois pour cent que demande la ministre de la Santé s’ajoutent aux supposées économies tirées de la révision des services partagée, le réseau devra encaisser deux coups durs. »
« Le SCFP et d’autres syndicats de la santé représentant en tout plus de 30 000 travailleurs de la santé dans notre province s’inquiètent ouvertement de la révision en cours, par le cabinet-conseil Ernst and Young, des services de santé dans les agences régionales et au IWK, poursuit-il. Que le gouvernement provincial comprenne bien, la position du SCFP est parfaitement claire : toute tentative de privatiser, de “brader” ou de centraliser en partie notre réseau de la santé serait mal avisée et contraire aux intérêts de la population. »
Wayne Thomas, coordonnateur, secteur des soins de courte durée du SCFP : « En ce moment, les agences régionales de la santé passent en revue leurs services pour réduire leurs dépenses de trois pour cent, à la demande du gouvernement. Nos membres qui fournissent des services de première ligne dans les hôpitaux, les labos et les cliniques de la province ne comprennent pas comment cela pourrait se faire sans impact direct sur les soins aux patients. »
Pour en savoir plus :
Danny Cavanagh
Président du SCFP-N.-É.
(902) 957-0822 (cell.)
Wayne Thomas
Coordonnateur, soins de courte durée
(902) 752-2244
John McCracken
Conseiller en communications, région de l’Atlantique
(902) 455-4180