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Les travailleurs de l’Université de Windsor invitent la direction à faire ce qu’il faut au cours des prochaines négociations pour conclure un règlement équitable et éviter toute perturbation de service qui pourrait commencer dès la semaine prochaine. Les 252 travailleuses et travailleurs des premières lignes, représentés par le SCFP, sont sans contrat de travail depuis mars de l’an dernier.

Les travailleuses et travailleurs de l’Université de Windsor invitent la direction à faire ce qu’il faut au cours des prochaines négociations pour conclure un règlement équitable et éviter toute perturbation de service qui pourrait commencer dès la semaine prochaine. Les 252 travailleuses et travailleurs des premières lignes, représentés par le Syndicat canadien de la fonction publique, sont sans contrat de travail depuis mars de l’an dernier.

« Notre objectif est de conclure une entente équitable sans avoir à débrayer et nous espérons que l’employeur arrivera à la table déterminé à obtenir un règlement, a déclaré Aldo DiCarlo, président de la section locale 1393 du SCFP.   Les discussions ont commencé en juillet de l’an dernier – depuis ce temps, un groupe d’étudiantes et étudiants ont obtenu leur diplôme et un nouveau groupe vient d’entrer à l’université.  Pourtant, nous sommes toujours sans contrat de travail. » 

Les travailleuses et travailleurs des services techniques, des métiers et de l’enseignement de l’université sont frustrés, car d’autres groupes de travailleuses et travailleurs universitaires ont déjà obtenu leurs règlements respectifs avec la direction.  « Tout ce que nous voulons, c’est une convention équitable, tout comme les autres membres du personnel universitaire, afin que nous puissions offrir les importants services qui permettent de faire fonctionner notre université », a poursuivi M. DiCarlo. 

Avec l’aide d’un médiateur nommé par la province, les deux parties amorceront les pourparlers de médiation le 28 septembre, trois jours avant la date butoir d’un  lock-out ou d’une grève à 12 h 01 le 1er octobre. « Nous espérons qu’avec l’aide d’un médiateur, nous aurons trois journées de négociation productives qui aboutiront à une convention collective équitable pour nos membres », a conclu Aldo DiCarlo. 
  

Pour en savoir plus : 

Aldo DiCarlo
Président de la section locale 1393 du SCFP
519 981-2605 (cell.)

Shelley Smith
Conseillère syndicale du SCFP
519 966-9595