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Deux ans après avoir perdu aux mains du NPD en 2009, les deux partis d’opposition de la Nouvelle-Écosse répandent des faussetés sur les activités électorales du SCFP et donnent à la population une impression complètement fausse et trompeuse.

HALIFAX– Le plus grand syndicat du Canada affirme que les deux partis d’opposition de la Nouvelle-Écosse interprètent de façon erronée les activités électorales du SCFP et donnent à la population une impression complètement fausse et trompeuse.

« Il est manifestement faux de laisser entendre qu’en communiquant directement avec ses membres pendant une campagne électorale, le SCFP a violé la Loi électorale, déclare Danny Cavanagh, président du SCFP-Nouvelle-Écosse. Même le directeur des élections [de la Nouvelle-Écosse] a conclu, aux élections provinciales de 2009, que nous n’avions pas enfreint la loi.  Nous n’avons rien fait de mal. »

« Depuis l’entrée en vigueur des changements au financement électoral, le SCFP s’est concentré sur la seule chose qui soit permissible par la Loi : communiquer avec nos membres, précise M. Cavanagh. Aujourd’hui, les partis d’opposition – sans doute parce qu’ils sont mauvais perdants – veulent nous empêcher de faire même cela. »
 
« J’ai de petites nouvelles pour l’opposition : ce qu’a fait le SCFP est parfaitement légal et protéger par les articles relatifs à la liberté d’expression et à la liberté d’association. Nous avons le droit de communiquer avec nos membres en tout temps », ajoute Danny Cavanagh.

Selon lui, les deux partis ferment aussi les yeux sur une importante décision rendue par un juge de la Cour suprême de la C.-B. de mars 2009 qui invalidait de grands pans de la soi-disant « loi sur le bâillon » de la province interdisant la publicité de tiers 60 jours avant des élections provinciales.

Frank Cole, juge de la Colombie-Britannique, a déclaré inconstitutionnels d’importants aspects de la loi 42 du gouvernement libéral, qui  visait particulièrement le SCFP et d’autres syndicats.

Selon le juge, la loi violait le droit fondamental à la liberté d’expression protégée par la Charte canadienne des droits et libertés.


Pour en savoir plus :  

Danny Cavanagh
Président du SCFP-N.-É.
902-957-0822 (cell.)   

John McCracken
Conseiller aux communications du SCFP
 902-455-4180