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Le président national du SCFP qualifie la loi actuelle de « système d’approbation automatique » ayant permis un grand nombre de prises de contrôle par des intérêts étrangers qui ont souvent nui aux communautés et affaibli l’économie du Canada.

Paul Moist, président national du SCFP, a été invité par le comité permanent de l’industrie de la Chambre des communes à discuter des modifications à apporter à la Loi sur Investissement Canada dans le but d’empêcher les dommageables prises de contrôle  d’entreprises canadiennes par des intérêts étrangers.

Malheureusement, les membres conservateurs du comité ont empêché certains témoins de comparaître en menant une obstruction systématique contre une motion présentée par les partis d’opposition invitant le Parlement à étudier un projet de loi émanant d’un député pour améliorer le recensement.  

Pour le confrère Moist, la loi actuelle n’est rien de plus qu’un « système d’approbation automatique » ayant permis un grand nombre de prises de contrôle par des intérêts étrangers qui ont souvent nui aux communautés et affaibli l’économie du Canada. 

  • Il a demandé que la loi soit améliorée par les mesures suivantes :
  • Transparence et reddition de comptes pour les décisions ministérielles.
  • Critères explicites s’appliquant à ces décisions, dont la prise en compte des emplois, des salaires et des régimes de retraite des travailleurs et des répercussions pour les collectivités.
  • Réduction du seuil d’examen.
  • Renforcement des règles de surveillance et d’application.