Message d'avertissement

Attention : cette page est tirée de nos archives. Il se pourrait que notre site Internet contienne des informations plus récentes sur ce sujet. Pour le savoir, utilisez notre moteur de recherche.

Formation des fiduciaires de régimes de retraite du SCFP à Vancouver

Les inscriptions sont maintenant ouvertes pour la session de formation des fiduciaires des régimes de retraite et des membres des comités consultatifs des régimes de retraite des syndicats, le 27 mars au 1 avril, 2011 à l’Hôtel Fairmont à Vancouver. Pour la première fois, nous offrons une formation qui répond aux besoins spécifiques des membres des comités de régimes à cotisations déterminées. Pour en savoir plus et pour téléchargez le formulaire de demande, visitez : http://scfp.ca/regimes-de-retraite/formation-des-fiduciaires-de-regimes-de.

Selon le SCFP-N.-É., le ministre Steele a raison de dénoncer la position de l’Alberta sur le RPC

Danny Cavanagh, président du SCFP de la Nouvelle-Écosse, félicite le ministre des Finances Graham Steele et le premier ministre, qui ont tous deux critiqué la position de l’Alberta sur la réforme du Régime de pensions du Canada (RPC).

« C’est formidable que notre province se prononce fermement dans ce dossier, soutient M. Cavanagh, parce que les Canadiens partout au pays ont dit, sondage après sondage, qu’il fallait remédier aux lacunes de notre système de sécurité à la retraite. C’est plus qu’une question de politique : il faut permettre aux gens de toucher un revenu de retraite acceptable grâce à un système qui fonctionne bien, mais qui doit être modernisé et adapté au XXIe siècle, poursuit Danny Cavanagh.  Si quelqu’un joue un jeu politique ici, c’est Jim Flaherty, le ministre des Finances du Canada, qui n’arrive pas à se brancher sur la réforme du RPC par crainte de déplaire à la base de Stephen Harper en Alberta. » 

En juillet 2010, un peu plus de 163 000 Néo-Écossais recevaient des prestations de retraite.  En moyenne, leur pension du RPC équivaut présentement à 477 $ par mois, ce qui est inférieur à la moyenne canadienne de 502 $. Danny Cavanagh affirme que si le taux de remplacement passait de l’actuel 25 pour cent à 50 pour cent – ce que prônent le SCFP et le Congrès du travail du Canada – les travailleuses et travailleurs pourraient, avec le temps, toucher jusqu’à 1 868,33 $ par mois.

Une experte en coalitions comme conférencière à Renforcer nos municipalités

L’auteure et militante australienne de renom Amanda Tattersall sera la conférencière principale à la Rencontre nationale du secteur municipal du SCFP. Auteure du livre Power in Coalition, elle dirige la Sydney Alliance.

Son livre Power in Coalition présente le cas de l’Ontario Health Coalition, ainsi qu’une coalition pour l’éducation publique à Sydney et une autre pour le salaire vital à Chicago.

Ne manquez pas cette occasion d’entendre Amanda Tattersall, d’autres conférenciers et panélistes inspirants et vos collègues du SCFP. Il n’est pas trop tard pour vous inscrire à la Rencontre nationale du secteur municipal du SCFP qui se tiendra à Toronto du 16 au 18 février 2011.

Pour en savoir plus : http://cupe.ca/municipalities/coalition-expert-deliver-keynote-speech.

Le SCFP se mérite une couverture dans Le Monde diplomatique

Un rapport montrant que les négociations entre le Canada et l’Union européenne aboutiront à la vente de l’eau publique du Canada s’est retrouvé dans les pages d’une publication européenne. En effet, le prestigieux  Le Monde diplomatique, un magazine d’information mensuel publié en France, parle du rapport dans son numéro de décembre. Intitulé « Eau publique à vendre : comment le Canada va privatiser nos systèmes publics d’eau » et publié par le SCFP et le Conseil des Canadiens, le rapport avertit que le Canada perdra son eau publique à moins que les provinces et les territoires ne prennent des mesures immédiates pour retirer l’eau du projet d’Accord économique et commercial global, ou AECG, entre le Canada et l’UE.

Téléchargez l’article à : http://scfp.ca/commerce/le-scfp-se-merite-une-couverture-dans.

Un sondage révèle un appui solide à une hausse des redevances et du salaire minimum en Saskatchewan

La majorité des résidents de la Saskatchewan veulent que le gouvernement provincial augmente les redevances versées pour nos ressources naturelles et hausse le salaire minimum afin qu’un plus grand nombre de personnes profitent de la prospérité économique, selon un nouveau sondage de Viewpoints Research. Le sondage, commandité par le SCFP-Saskatchewan, a joint 602 résidents de toute la province du 6 au 16 décembre  2010.

Selon le sondage, quatre répondants sur cinq (79,1 pour cent) croient que les entreprises de ressources devraient verser des redevances plus élevées s’ils transfèrent des emplois du siège social à l’extérieur de la province, tandis que 66,9 pour cent croient que la province devrait hausser les redevances sur la potasse, le pétrole et d’autres ressources naturelles, afin que les citoyens de la Saskatchewan en profitent plus.

Tom Graham, président du SCFP-Saskatchewan, donne l’exemple de la Ville de  Regina, qui a décidé, en décembre 2010, d’accorder à la Mosaic Potash Corporation un allégement fiscal de 1,6 million de dollars sur cinq ans. « Existe-t-il quelqu’un sur cette terre qui croit qu’il s’agit d’une utilisation intelligente de l’argent des contribuablesToutefois, ajoute-t-il, le sondage montre qu’un pourcentage élevé de répondants croient qu’il faut aider les personnes à faible revenu. » Par exemple, 71,9 pour cent des personnes interrogées veulent que le gouvernement hausse le salaire minimum, bloqué à 9,25 $ l’heure depuis deux ans.

Des syndiqués de Regina défendent leur régime de retraite

Le SCFP et d’autres groupes représentant les employés du Régime de retraite municipal de Regina ont envoyé un message sans équivoque au conseil municipal en votant en faveur d’une hausse du taux de cotisation. À l’assemblée tenue le mois dernier, 12 des 15 syndicats et associations ont voté en faveur de l’augmentation du taux. Le Régime de retraite municipal de Regina, comme beaucoup de régimes à prestations déterminées du pays, est aux prises avec un important manque à gagner, dû en grande partie à la crise financière de 2008 et à la diminution des attentes en matière de rendement des investissements.

Avec les hausses de cotisations recommandées par l’actuaire du régime, les taux passeront à 12,38 pour cent des gains, tant pour les employés et que pour les employeurs, jusqu’à concurrence du maximum des gains annuels ouvrant droit à pension (MGAP) et à 18,34 pour cent pour les gains excédant le MGAP. Même si les employeurs se plaignent que les hausses de taux exigées représentent « un fardeau inacceptable », les syndicats municipaux suggèrent au conseil municipal de considérer cette augmentation comme un investissement dans la main-d’œuvre municipale.

Le SCFP solidaire des Métallos en lock-out

Paul Moist, président national du SCFP, Fred Hahn, président du SCFP-Ontario, et plusieurs douzaines de membres du SCFP se sont joints au piquet de grève des Métallos lockoutés cette semaine. Plus de 900 membres de la section locale 1005 des MUA sont en lock-out depuis au moins deux mois. Le mois dernier, le Conseil exécutif national du SCFP a adopté une résolution visant à assurer un soutien moral et financier aux membres de la section locale 1005 des MUA, lockoutés par le Groupe U.S. Steel Canada depuis le 7 novembre 2010. La résolution demande qu’un don de 10 000 $ soit remis à la caisse de grève des Métallos.

La section locale 1005 des MUA a été mise en lock-out par l’entreprise américaine U.S. Steel Canada Group parce que les membres ont refusé de modifier leur régime de retraite. U.S. Steel veut que tous les nouveaux employés adhèrent à un régime de retraite à cotisations déterminées, plutôt qu’à l’actuel régime à prestations déterminée. La société veut également éliminer l’indexation accordée aux retraités actuels et futurs en vertu du régime à prestations déterminées existant.

Paul Moist a aussi blâmé le gouvernement fédéral pour le rôle qu’il joue dans la bataille sur les régimes de retraite et, plus précisément, pour avoir permis à la U.S. Steel d’acquérir les installations de Hamilton de la Stelco en 2007.

« La manière dont la U.S. Steel a pu traiter ses travailleurs montre clairement que la Loi sur Investissement Canada – la loi fédérale censée examiner les acquisitions étrangères – ne protège pas les travailleurs canadiens », a conclu M. Moist. Il invite les sections locales du SCFP à appuyer la section locale 1005 des MUA, tant en donnant de l’argent qu’en participant aux piquets de grève, et demande aux membres de montrer leur solidarité à un rassemblement qui aura lieu le 29 janvier 2011 à l’hôtel de ville de Hamilton. 

Sondage : Les résidents de la Saskatchewan veulent des solutions publiques en santé

À en juger par un nouveau sondage d’opinion publique, la très grande majorité des résidents de la Saskatchewan partagent un souhait commun pour notre système de santé en 2011. Ils veulent que le gouvernement de la Saskatchewan investisse dans des solutions publiques plutôt que dans des cliniques privées pour réduire les délais d’attente en chirurgie.

Selon le sondage, 60,4 pour cent des personnes interrogées veulent que le gouvernement de la Saskatchewan diminue les délais d’attente en chirurgie en investissant dans le système hospitalier public, tandis que 24,2 pour cent seulement appuient le gouvernement dans sa décision d’avoir recours aux cliniques chirurgicales à but lucratif. Le sondage Viewpoints Research, commandité par le SCFP-Saskatchewan, a joint 602 résidents de toute la province du 6 au 16 décembre.

Le sondage a aussi montré que la plupart des répondants ne sont pas d’accord avec le gouvernement qui a décidé de reporter la construction d’une nouvelle clinique de chirurgie ambulatoire à Regina. D’abord annoncé par le gouvernement du NPD en 2007, le centre de chirurgie d’un jour public de 14 millions de dollars devait ouvrir ses portes en 2010. Mais l’année dernière, le gouvernement du SaskParty a retardé le financement du projet et a plutôt consacré 5,5 millions de dollars à des paiements versés aux cliniques de chirurgie privées.

Accord de principe pour les professionnels des sciences de la santé de la C.-B.

Après plus de neuf mois de négociations, un accord de principe a été conclu, le 22 décembre 2010, entre l’Association de négociation des professionnels des sciences de la santé (HSPBA) et l’Association des employeurs de la santé de la Colombie-Britannique. Le SCFP représente plus de 500 membres de cette association de négociation par l’entremise des sections locales 15, 1978 et 4816.

L’accord a été négocié dans le cadre du mandat de négociation « zéro net » de 2010 imposé par le Conseil des employeurs du secteur public du gouvernement libéral de la C.-B., qui interdit, pour les conventions négociées avec le secteur public, toute hausse nette des coûts totaux de rémunération sans contrepartie.  En somme, il faut éliminer des clauses existantes d’une convention pour en financer les bonifications.

Frank De Waard, représentant du comité de négociation et président de la section locale 4816 du SCFP, a affirmé que le coût de l’accord était beaucoup trop élevé pour les membres du SCFP. « Cet accord comprend peut-être certaines améliorations, mais au prix d’une journée de vacances et de la suspension de la définition de la “supervision générale”, ce qui signifie que les salaires de beaucoup de nos membres présentement reconnus comme travaillant sans supervision générale seront gelés et que de nouveaux employés seront embauchés à un salaire moindre ».

Une trousse d’information complète sera distribuée aux membres et affichée sur la page Web du secteur de la santé du SCFP-C.-B. à leur intention en janvier 2011. De plus, chaque section locale du SCFP tiendra des assemblées de ratification pour les membres à la fin de janvier et au début de février. Pour en savoir plus : http://scfp.ca/negociations/accord-de-principe-pour-les.

La Colombie doit mettre fin à la violence contre les militants

Dans une lettre adressée au président Santos et au vice-président Garzón, le président national Paul Moist a demandé au gouvernement colombien de protéger les syndicalistes et les militants des droits de la personne qui ont reçu des menaces de mort dans le cadre d’une campagne d’intimidation documentée.

M. Moist a dit, « Nous sommes très préoccupés par le fait que, encore une fois, des personnes associées à nos partenaires de longue date, l’Association pour la recherche et l’action sociale (NOMADESC) et le Syndicat des travailleurs d’universités, section de Cali (SINTRAUNICOL), aient fait l’objet de menaces de mort. » Les menaces reçues entre le 11 et le 14 décembre, s’inscrivent dans une campagne d’intimidation bien documentée. Lisez la lettre à : http://scfp.ca/justice-mondiale/la-colombie-doit-mettre-fin-a-la.

Le SCFP doit maintenir la pression en faveur d’une bonification du RPC

Le SCFP continuera à collaborer avec le Congrès du travail du Canada afin d’obliger le gouvernement Harper à bonifier le Régime de pensions du Canada (RPC) comme il avait promis de le faire, affirme le président national Paul Moist. Après la rencontre des ministres fédéral et provinciaux des Finances du 20 décembre, Paul Moist a dénoncé la mauvaise foi du ministre des Finances Jim Flaherty.

« Renoncer à la bonification du RPC en faveur d’un système de retraite collectif privé est mauvais pour les Canadiens, mais excellent pour les banques, les compagnies d’assurance et l’industrie des fonds mutuels, selon M. Moist. Le régime de retraite collectif proposé par M. Flaherty ne répond pas aux véritables besoins des Canadiens qui sont incapables d’épargner pour la retraite. Le régime n’exige même pas que les employeurs cotisent, ni qu’ils assument leurs responsabilités en matière de financement des besoins de retraite de leurs travailleurs. »

Pour en savoir plus :http://scfp.ca/regimes-de-retraite/le-scfp-doit-maintenir-la-pression-en

Rupture des négociations pour les travailleurs intérieurs à la Ville de St. John’s

Les négociations entre la section locale 1289 du SCFP et la Ville de St. John’s sont rompues. L’embûche principale est le libellé de la convention autour de l’affichage des postes temporaires. La convention collective actuelle prévoit une période de huit semaines préalablement à l’affichage des postes temporaires. La Ville souhaite allonger considérablement ce délai.La section locale demandera au ministère du Travail de nommer un conciliateur pour aider à résoudre l’impasse.

La patience est d’or à Delta, C.-B.

Après dix mois de négociations, les membres du SCFP 454 du Delta Museum and Archives, une société dont les activités sont financées uniquement par des dons, ont une nouvelle convention collective qui prévoit des hausses salariales et des améliorations aux avantages sociaux. L’entente prévoit des hausses salariales de 1,5 pour cent au 1 janvier 2010 et de 1 pour cent au 1 janvier 2011. Elle comporte aussi un ajustement au marché pour un poste fortement sous-évalué, la reconnaissance d’un régime de retraite dans le mémoire d’entente, de meilleures vacances, une clause « congés cumulés » dirigée par les employés et un programme d’avantages sociaux dont les coûts sont partagés avec l’employeur au chapitre des assurances santé, santé étendue, dentaire et vie.

L’employeur était prêt à se pencher sur un programme flexible d’avantages, mais le comité a rejeté cette option cafétéria au profit d’un régime d’assurances collectif. « Ce lieu de travail n’avait jamais eu d’avantages médicaux ou dentaires. Nous avons maintenant la sécurité mutuelle, une assurance-vie collective, une assurance santé étendue et une assurance dentaire, toutes partagées 50-50 avec l’employeur. Pour nous, il s’agit d’un pas très important », affirme Jordana Kerry, membre du comité et de l’exécutif de la section locale 454.

Une membre du SCFP 4308 reçoit le prix Affaires autochtones

Angela Connors, coordonnatrice des bénévoles et événements à la Central Neighbourhood House recevait dernièrement le prix Affaires autochtones de la Ville de Toronto. Angela a œuvré à établir le complexe immobilier Reva Jewell Aboriginal Supportive Housing qui ouvrira ses portes en 2011. Elle s’est aussi impliquée dans les questions d’eau et l’impact de l’empoisonnement au mercure sur la Première Nation des Grassy Narrows. Une Ojibway du clan Beaver de la Première Nation Saugeen, Angela est membre du Conseil autochtone du SCFP-Ontario.

Le SCFP réclame justice pour les travailleuses et travailleurs tués au Bangladesh

Au moins 28 travailleuses et travailleurs du textile ont perdu la vie et des douzaines d’autres ont été blessés dans l’incendie d’une manufacture de vêtements près de Dhaka, capitale du Bangladesh. Des témoins disent qu’au moins deux des six sorties de secours étaient verrouillées, ce qui est fréquent dans l’édifice.  L’entreprise, That’s It Sportswear Ltd., produit des vêtements pour Gap et Wrangler.

Paul Moist, président du SCFP national, a exprimé la colère ressentie par les membres du SCFP. « Nous sommes solidaires de ces travailleuses et travailleurs et nous demandons au gouvernement du Bangladesh de faire enquête sur cet accident et d’arrêter les propriétaires et les exploitants de la manufacture, a-t-il déclaré. Le gouvernement doit améliorer et faire respecter les lois qui visent à protéger les travailleuses et les travailleurs contre de tels accidents et offrir une indemnisation acceptable aux victimes et à leurs familles. »  

L’incident arrive dans la foulée d’un drame très semblable qui s’est produit en mars 2010 et au cours duquel au moins 21 travailleuses et travailleurs ont perdu la vie et 50 autres ont été blessés dans l’incendie de la Garib & Garib Sweater Factory de Gazipur, au Bangladesh.   Garib & Garib produit des tricots pour différentes entreprises, dont Wal-Mart et JC Penny.

  

 rks/sepb491