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Réunis en assemblée générale le 23 novembre, les cols blancs de la Ville de Saint-Bruno-de-Montarville, Quebec, ont voté à 90 pour cent en faveur d’une nouvelle convention collective. Les syndiqués ont décroché une entente de cinq ans qu’ils jugent satisfaisante. Elle couvre la période allant du 1 janvier 2007 au 31 décembre 2011.

L’impasse a été dénouée quand la Ville a accepté de laisser le régime de retraite dans le regroupement des anciennes villes défusionnées de Longueuil (Boucherville, Brossard, Saint-Lambert et Saint-Bruno-de-Montarville).

«La convention collective des cols blancs de Saint-Bruno avait besoin d’une mise à jour en profondeur. À tous égards, c’est ce que nous avons accompli et nous en sommes heureux. La Ville envoie un signal positif à ses employés en leur donnant les conditions qu’il faut pour servir au mieux la population »,a déclaré Daniel Duval, président du SCFP 306.

Parmi les clauses négociées, on remarque des augmentations salariales de 2,5 pour cent pour les trois premières années et de 2,25 pour cent pour les deux dernières, ainsi qu’une nouvelle structure salariale rétroactive à 2007 qui résulte des travaux d’équité salariale. Notons également une mise à niveau des congés mobiles, des vacances annuelles, des congés de maladie et des primes de fin de semaine.

Ce vendredi, le 26 novembre, à 9 h 30, les représentants du SCFP 306 rencontreront les dirigeants de la Ville pour signer la nouvelle convention collective.

Les quelque 75 employés cols blancs de Saint-Bruno-de-Montarville sont membres de la section locale 306 du SCFP. Ils sont au service des citoyens à titre de bibliothécaires, préposés aux prêts, commis à l’administration, inspecteurs en bâtiment, préposés aux loisirs, préposés au service à la clientèle, secrétaires, techniciens, etc.