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Le 6 décembre prochain, il y aura 20 ans que nous commémorons et pleurons les 14 femmes assassinées à l’École Polytechnique de Montréal en 1989.

Bien que le 6 décembre soit une journée du souvenir, elle est aussi devenue une journée nationale d’action pour attirer l’attention sur les nombreux dangers qui menacent la santé et la sécurité des femmes. Le SCFP participe à la campagne de cartes postales du 6 décembre lancée par le Congrès du travail du Canada (CTC), qui propose 20 mesures que peuvent prendre les gouvernements pour améliorer la santé et la sécurité des femmes.

À notre dernier congrès national, le Comité national des femmes a parlé de la violence contre les femmes en invitant les délégués à participer au projet Handkerchief pour mettre fin à la violence contre les femmes et les filles.

L’argent amassé a été apparié par le SCFP national et un don a été envoyé à l’organisation Sœurs par l’esprit, qui combat la violence contre les femmes autochtones – en insistant particulièrement sur le nombre élevé de femmes autochtones disparues et assassinées au Canada.

Pour souligner le 20e anniversaire des événements tragiques du 6 décembre, le SCFP a mis à jour son affiche « Jusqu’à ce que toutes les femmes soient libres ».

Des cérémonies auront lieu partout au pays pour honorer la mémoire des femmes qui ont perdu la vie le 6 décembre. Nous incitons les sections locales et les membres du SCFP à participer à ces activités dans leur région.

Le SCFP continuera à faire tout ce qu’il faudra pour que les femmes aient accès à la sécurité économique et sociale dont elles ont besoin pour être en sécurité à la maison, au travail et dans leurs communautés.