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Les travaux de la seconde journée du congrès ont commencé par une brève allocution de Denis Bolduc, président du syndicat de la rédaction du Journal de Québec. Cette intervention au micro est survenue après la présentation d’une courte vidéo rappelant le lock-out de 16 mois au Journal.

Rappelons que les employés de bureau et ceux de la rédaction du Journal ont subi un lock-out de 16 mois en 2007 et 2008. Quelques heures après l’annonce du lock-out par l’employeur, les membres du syndicat de l’imprimerie du Journal déclenchaient la grève en appui aux deux autres groupes.

Accompagné de Ginette Laberge présidente du syndicat des employés de bureau et de Luc Duchesneau, président du syndicat de l’imprimerie, Denis Bolduc a défini le SCFP comme un « syndicat de solidarité et de soutien ». Celui qui a été porte-parole des syndiqués en conflit en 2007 et 2008 a ajouté que « peu importe qu’on soit une petit ou un gros syndicat, le SCFP sera là pour vous, pour vous soutenir. »

Tout en remerciant l’ensemble du SCFP du soutien reçu tout au long de ce conflit de travail, Denis Bolduc a rappelé cette phrase de l’écrivain Hans Christian Andersen: « La reconnaissance est le mémoire du cœur ». Il ne pouvait pas mieux dire.