Le gouvernement du Nouveau-Brunswick a annoncé le 10 juillet qu’il revient sur sa décision d’imposer des compressions de 2,9 millions de dollars aux districts scolaires. Plus de 300 commis de bibliothèque, adjoints à l’enseignement et autres travailleurs de l’éducation étaient menacés de perdre leur emploi, alors que des centaines d’autres auraient subi une diminution de leurs heures de travail.
« Cette victoire, nous la devons à nos membres du secteur de l’éducation du Nouveau-Brunswick », a affirmé Paul Moist, président national du SCFP. « Ces gens ont travaillé sans relâche pour que le gouvernement libéral se plie à l’évidence: quand nos enfants bénéficient du soutien et des services dont ils ont besoin à l’école, tout le monde y gagne. »