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Le gouvernement du Canada laisse dépérir l’Office national du film (ONF). Le montant des crédits annuels alloués à l’ONF est demeuré pratiquement inchangé depuis le milieu des années 1990.

D’un peu plus de 81 millions de dollars en 1994-1995, les crédits parlementaires étaient d’environ 67 millions en 2007-2008.

Résultat: une expertise précieuse et des techniques uniques se perdent, la capacité de création et de production est amoindrie, de nombreux programmes de collaboration avec les collectivités sont abandonnés et des centaines d’emplois ont été éliminés.

Depuis sa fondation en 1939, l’ONF a été au cœur des débats sociaux de ce pays. L’ONF, c’est le reflet de nos valeurs, de nos préoccupations et de nos interrogations comme société et aussi notre mémoire collective.

Aujourd’hui, l’ONF est à la croisée des chemins. Il manque de plus en plus de moyens pour poursuivre sa mission.

Aidez-nous à redonner à l’ONF les moyens qu’il lui faut.

Jean-Claude Labreque

Co Hoedeman

Roger Frappier

Le producteur Roger Frappier souligne le rôle unique de l’ONF.

Benoît Pilon

Le cinéaste Benoit Pilon y relate ses premières expériences. Il raconte comment, jeune étudiant, il a pu, grâce à l’expertise et l’expérience de l’ONF, compléter son premier court métrage dans des conditions professionnelles.

Alanis Obomsawin

Alanis Obomsawin souligne que l’ONF est un véritable lieu de « liberté de parole ».