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Les délégués au 28e congrès annuel du SCFP de l’Île-du-Prince-Édouard ont voté, le 9 mai, en faveur de l’arrêt de l’investissement des caisses de retraite dans des pays « dont les régimes violent les droits de la personne, comme la Birmanie ».

« Les membres du SCFP sont un modèle, non seulement au Canada, mais aussi dans le reste du monde », a déclaré le président national Paul Moist dans le discours qu’il a prononcé au congrès, tenu à l’Université de l’Î.-P.-É. à Charlottetown.

« Dans de nombreuses régions du monde, des familles doivent payer pour l’éducation de leurs enfants, et beaucoup ne peuvent pas se le permettre », a affirmé M. Moist, en insistant sur la valeur de l’éducation publique et sur les dangers de la privatisation des écoles.

Comme à tous les autres congrès des divisions de cette année, les délégués ont été invités à signer des cartes SCFP-Oxfam pour lutter contre la pauvreté. Ils ont aussi reçu de la documentation sur l’importance de services publics de qualité ainsi que du matériel de promotion sur le Fonds du SCFP pour la justice mondiale au stand partagé SCFP-Oxfam.

 

 

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