Message d'avertissement

Attention : cette page est tirée de nos archives. Il se pourrait que notre site Internet contienne des informations plus récentes sur ce sujet. Pour le savoir, utilisez notre moteur de recherche.

Consoeurs et confrères,

Encore une fois, je tiens à remercier le Conseil exécutif national d’avoir appuyé notre historique budget de 2008 en décembre. Mais avant de présenter mon rapport, j’aimerais aussi dire à quel point, comme sans doute chacun d’entre vous, je suis attristé par l’absence aujourd’hui de la consoeur Donalda MacDonald. J’en parlerai plus tard dans mon rapport, mais j’ai le sentiment que Donalda assiste avec nous, en esprit, à notre reunion dans la ville enneigée d’Ottawa.

Comme je vous l’avais dit en décembre, la force de notre budget repose sur trois grands piliers. Premièrement, notre ferme engagement à lutter contre la privatisation partout au pays, avec 2,5 millions de dollars pour mener notre combat cette année.

Deuxièmement, les grands pas que nous avons faits sur le front de l›égalite, entre autres en ajoutant trois nouveaux postes pour faire ce travail. Et, troisièmement, les progrès que nous avons réalisés dans le dossier de la dotation en personnel partout au pays, tout en continuant à corriger le déséquilibre en Ontario. Nous avons ajouté 18 postes équivalents temps plein à notre effectif actuel dans toutes les régions du Canada (un record pour un budget dans ce nouveau millénaire): trois de ces postes seront affectés à notre bureau national et 15 seront répartis dans les régions – dont Ia moitié en Ontario. Après avoir fait le suivi de ces postes, nous avons dû apporter un changement mineur pour des besoins opérationnels. En effet, le poste d’agent administratif bilingue est devenu un poste d’agent principal bilingue. Ce changement n’aura que peu d’impact sur le budget.

En plus du financement consacré aux campagnes antiprivatisation, notre allocation destinée aux campagnes à frais partagés dans la Caisse de défense est passée à 2 millions de dollars cette année, ce qui est une bonne chose, puisque l’année dernière, nous avons dépensé plus de 2,3 millions de dollars pour un budget prévu de 1,7 million de dollars. Notre Conseil a fait ce qu’il devait faire et a approuvé les projets cas par cas, selon les besoins de nos membres.