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Le mois de juin est toujours incroyablement occupé au SCFP national : nous venons de terminer notre tournée des congrès des divisions provinciales, nous rencontrons les vérificateurs et les syndics en prévision de la réunion du Conseil exécutif national et, cette année, nous nous préparons au congrès national qui aura lieu à Toronto. Pourtant, malgré toute cette effervescence, c’est une période qui est aussi très gratifiante. Nos rencontres avec les vérificateurs et les syndics pour l’examen de l’exercice précédent nous permettent de constater ce que nous avons realisé au cours de la dernière année. Les états vérifiés confirment que nous avons terminé l’exercice 2006 avec un surplus, comme je vous l’avais signalé en mars. Le surplus est venu tant d›économies administratives que des revenus additionnels non prevus des ententes d›équité salariale et d’autres facteurs qui nous étaient inconnus lorsque nous avons établi le budget de 2006. Nos économies sont en grande partie dues à des pratiques administratives qui n’ont aucune incidence sur les services, comme une reduction de nos coûts de location. En outre, nous économisons en utilisant des laissez-passer pour nos voyages en avion. Avec Voyages WE, nous avons négocié une pratique administrative sur l‹utilisation de laissez-passer qui nous permettra d›économiser entre 500 000 $ et un million de dollars en 2007. Je trouve extremement important que nous réalisions ces économies sans nuire à notre capacite à offrir des services et des ressources aux premières lignes.

La construction de notre nouveau siège national, qui sera terminée en octobre, est un autre jalon important. Ce nouvel édifice, combiné à l’achat d’autres nouvelles propriétes, a considerablement accru notre avoir et, conséquemment, notre force financière. II y a dix ans, le SCFP était lourdement endette. Si nous avions fermé nos portes à ce moment, chacun des quelque 500 000 membres de l›époque aurait possèdé 10 $. Aujourd’hui, dans la même situation, chacun de nos 560 000 membres recevrait 40 $. Et cette estimation ne tient pas compte de notre Caisse de grève, qui se situe maintenant à 38 millions de dollars.