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Prenant une pause pendant le congrès bien rempli de la division de l’Ontario, les dirigeants du SCFP ont marché avec une bonne partie des 750 délégués et invités du congrès annuel en direction de la rivière Détroit pour manifester leur appui aux services publics.

« Nous savons que 40 millions d’Américains n’ont aucune assurance-maladie », a déclaré Paul Moist, président national du SCFP, aux délégués du congrès du SCFP-Ontario réunis à Windsor, en montrant du doigt la ville de l’autre côté de la rivière Détroit. « À ceux qui, au Canada, veulent essayer la privatisation, nous disons que nous ne voulons pas de ce système. Nous voulons un système canadien entièrement public, où la grosseur de votre portefeuille ne dicte pas la qualité des soins de santé que vous recevez. »

Le SCFP-Ontario fera de la privatisation des soins de santé un enjeu majeur de la campagne électorale provinciale de cet automne. Les réseaux locaux d’intégration des soins de santé (RLISS) du gouvernement McGuinty ouvrent la porte à la consolidation et à la privatisation des emplois de tous, des travailleurs d’hôpitaux à ceux du personnel de soutien qui fournissent des soins à domicile.

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