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Le SCFP-Alberta soutient que le nouveau ministre de l’Éducation devrait apprendre des autres provinces et éviter les PPP pour la construction de nouvelles écoles à Calgary.

D’Arcy Lanovaz, président du SCFP-Alberta, a rappelé aux Albertains que les PPP ont été un tel désastre en Nouvelle-Écosse que le gouvernement conservateur a finalement dû y renoncer.

À la fin des années 90, le gouvernement libéral de la Nouvelle-Écosse affirmait que le besoin de nouvelles écoles était si grand qu’il fallait impérativement se tourner vers les PPP. Les libéraux ont négocié une entente avec le secteur privé pour construire 55 écoles.

Mais après avoir constaté que les coûts avaient grimpé de 32 millions $ – un montant qui aurait permis de construire trois écoles – le gouvernement conservateur suivant a décidé d’annuler le plan de PPP des libéraux

« Non seulement les Néo-Écossais ont-ils payé leurs écoles plus cher que s’ils avaient utilisé un financement conventionnel, mais encore la complexité des contrats a entraîné des litiges qui ont dû être réglé par arbitrage, rappelle D’Arcy Lanovaz. Résultat : les arbitrages ont accru les coûts et il y a eu moins d’argent à consacrer aux écoles. »

Le SCFP-Alberta a aussi rappelé le rapport du vérificateur général du Nouveau-Brunswick de 1998, qui avait conclu qu’une seule école coûtait 900 000 $ de plus en PPP. Lisez les communiqués de presse du SCFP-Alberta ici et ici. ici et ici.