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Le SCFP intensifie ses pressions sur la Régie des transports du Grand Vancouver (TransLink) pour que le public connaisse les coûts véritables et les risques réels de la nouvelle liaison rapide Richmond-aéroport-Vancouver (RAV).

Même si les gouvernements fédéral et provincial, et laéroport et les régies du transport ont engagé chacun 300 millions de dollars, le financement du projet natteint toujours pas les 1,5 milliards de dollars prévus au budget et encore moins les 2 à 2,2 milliards de dollars quil devrait en coûter dans les faits.

Mais ce qui est encore plus inquiétant, ce sont les entreprises qui font la queue pour présenter des soumissions, entre autres des multinationales et des sociétés canadiennes qui sont en défaut de paiement de prêts, qui nont pas respecté leurs promesses dans le passé et qui sont accusées de corruption et de surfacturation.

Le SCFP a préparé un dossier sur ces entreprises (visitez scfp.ca) et poursuit ses efforts pour convaincre le gouvernement de renoncer à un 3P, comme il la fait cet été pour un tronçon de lautoroute de la Colombie-Britannique, la Coquihalla. Soutenant que la vente de lautoroute a été empêchée grâce à de solides campagnes dopposition, le SCFP de Colombie-Britannique demande à la province découter les voix communautaires tout aussi puissantes qui veulent que les hôpitaux, lélectricité, les transports et dautres services demeurent publics. Un sondage avait montré que 92 pour cent de la population sopposait à une autoroute privée.