Message d'avertissement

Attention : cette page est tirée de nos archives. Il se pourrait que notre site Internet contienne des informations plus récentes sur ce sujet. Pour le savoir, utilisez notre moteur de recherche.
Le SCFP a agi rapidement pour dn006fncer les manœuvres d’intimidation de la ville de North Battleford envers une dirigeante syndicale qui, la semaine dernir0065, s’est prononce0020publiquement contre la privatisation du systm0065 de traitement de l’eau de la ville.

Le 23 octobre, la section locale 287 du SCFP a lanc 0075ne campagne de publicit 0064estine0020 0073ensibiliser le public aux dangers d’une proposition de partenariat public-priv 0070our construire et exploiter une nouvelle usine de traitement des g006futs dans cette ville du nord de la Saskatchewan. Le lendemain, la prs0069dente de la section locale, Barb Plews, une employe0020municipale comptant 20 ans d’anciennet,0020a reu0020une lettre l’informant que son horaire de travail passait de 40 00320 heures semaine.

Le syndicat a dp006fs 0075ne plainte pour pratique dl006fyale contre la ville et a tenu une confr0065nce de presse afin de dn006fncer le geste de la municipalit.0020

Le message de la ville est clair – si vous critiquez votre employeur, ou si vous df0065ndez vos droits, votre emploi est menac , affirme Tom Graham, prs0069dent du SCFP-Saskatchewan.

Cette employe0020de longue date de la ville df0065ndait un service public vital et protg0065ait les emplois des membres de son syndicat et, tout 0063oup, son emploi passe de temps plein 0074emps partiel. La mesure prise par la ville est rp0072h0065nsible.

La plainte pour pratique dl006fyale dp006fse0020par le SCFP soutient que la rd0075ction des heures de travail impose0020 0042arb Plews est un geste d’intimidation directe destin l’empc0068er de remplir ses fonctions de prs0069dente de la section locale et viole la Loi sur les syndicats.