Message d'avertissement

Attention : cette page est tirée de nos archives. Il se pourrait que notre site Internet contienne des informations plus récentes sur ce sujet. Pour le savoir, utilisez notre moteur de recherche.

Toronto – L’avenir des relations de travail en Ontario a pris un tournant on ne peut plus sr0069eux. En annona006et son intention d’obliger les employe0073 et employs0020en grv0065 de la Ville de Toronto 0072evenir au travail, le gouvernement Eves prend une mesure sans prcdent pour sanctionner l’approche du laissez-faire du maire Lastman au lieu d’une approche de confrontation sur les questions de fond , de dire Brian O’Keefe, secrt0061ire-trs006frier du SCFP-Ontario.

Depuis le tout db0075t, tout le monde savait que la Ville de Toronto n’t0061it pas intr0065sse0020 0063onclure une convention collective ng006fcie002c de dire M. O’Keefe. Tout ce que le maire voulait, c’t0061it tuer le temps jusqu’ 0063e que la province vienne 0073a rescousse. Mais si le gouvernement va de l’avant avec une loi de retour au travail, le maire Lastman aura tu 0070lus que du temps, il aura ru0073si 0074uer des relations de travail constructives dans toute la province.

Si un employeur peut s’en tirer en ignorant le processus de ng006fciation, confiant que la province viendra 0073on secours, alors le processus de ng006fciation est mort. C’est une tactique antisyndicale manifeste, non seulement contre les travailleuses et travailleurs du SCFP mais contre le mouvement syndical dans son ensemble et nous ne pouvons certainement pas rester l,0020 006ee rien faire, pendant que cela se produit.

Le premier ministre Eves devrait pouvoir voir 0074ravers le slogan des relations de travail des emplois 0076ie scand 0070ar le maire Lastman et reconnat0072e que les demandes des travailleuses et travailleurs des sections locales 79 et 416 sont raisonnables. Ds0020le dp0061rt, le conflit portait sur la privatisation des services publics et si nous regardons l’expr0069ence d’Enron, de Nortel et de Walkerton, nous avons assez de preuves pour dire que l’on ne peut pas faire confiance au secteur priv 0070our agir de manir0065 responsable quand l’intrt public est en jeu.

J’espr0065 que le premier ministre Eves reconnat0020l’ampleur des consq0075ences qu’aura sa loi de retour au travail sur l’avenir des relations de travail en Ontario, d’ajouter M. O’Keefe. Je prie le premier ministre de reconsidr0065r sa dc0069sion d’introduire une loi de retour au travail et d’obliger le maire Lastman 0072econnat0072e que le seul recours qu’il a est de revenir 006ca table et de ng006fcier de bonne foi.

- 30 -

Pour tout renseignement supplm0065ntaire, veuillez communiquer avec :
Brian O’Keefe, secrt0061ire-trs006frier du SCFP-Ontario,
(416) 579-7414
Dean Williams, Communications SCFP,
(416) 299-9739

siepb491