Cambridge – Les membres de la section locale 1882 du SCFP, 006c’emploi de Haven House de Cambridge, se ru006eiront avec leur employeur et un conciliateur nomm 0070ar le gouvernement, mardi, le 11 juin. Les travailleuses ng006fcient depuis dc0065mbre 2001 et n’ont pas ru0073si 0063onclure une entente jusqu’ 0063e jour. Elles sont en position de db0072ayer lg0061lement depuis la mi-mai.
Notre employeur cherche liminer des dispositions lmentaires et justes dans notre convention , de dire Paula Drake-Jones, une intervenante du refuge et membre du comit 0064e ng006fciation de la section locale 1882. Ils veulent implanter des dispositions rg0072essives pour la discipline et les congd0069ements, ce qui est tout simplement inacceptable. Les travailleuses du refuge sont parmi le groupe professionnel le plus surmen 0065t sous-pay 0064es services sociaux. Tous les jours nous appuyons et df0065ndons les femmes et les enfants qui viennent 006eotre refuge, malgr 0064es dossiers lourds et des compressions de financement brutales. Nous mr0069tons tout 0066ait une convention q0075itable et le respect au travail , a-t-elle dit.
La section locale 1882 reprs0065nte 140 travailleuses et travailleurs de la ville de Cambridge, dont 24 employe0073 de Haven House. La grv0065 est la dernir0065 chose que nous voulons, de dire Marilyn Gilbert, prs0069dente de la section locale 1882. Mais si l’employeur n’accepte pas de plier sur certains des points importants, je crains bien que nous nous dirigeons vers un db0072ayage.
Le SCFP reprs0065nte 180 000 femmes et hommes en Ontario, dont bon nombre travaillent pour les municipalits002c les hp00690074aux, les conseils scolaires et les universits002e
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Pour plus d’information, veuillez communiquer avec :
Paula Drake-Jones, intervenante, membre de la section locale 1882 du SCFP,
(519) 621-5557
Marilyn Gilbert, prs0069dente, section locale 1882 du SCFP,
(519) 621-5557
Michael Dunn, conseiller syndical du SCFP,
(519) 743-7781
Andrea Addario, Communications SCFP,
(416) 292-3999, poste 240