Les travailleuses et travailleurs du muse0020de St. Catharines, membres de la section locale 1287, sont en grv0065 depuis le 26 avril. Dix jours aprs0020la date butoir pour le dc006cenchement lg0061l de la grv0065, ils s’effora0069ent toujours d’en arriver 0075n rg006cement. Ils ont fini par comprendre que l’employeur n’t0061it pas particulir0065ment intr0065ss conclure une entente.
Les principaux points en litige sont les salaires et le respect. La plupart des travailleuses et travailleurs reo0069vent prs0065ntement 8 $ l’heure. Le personnel dc0072it un climat de travail qui s’est dtrior 0063onstamment au cours des derniers mois. Le directeur du muse002c qui reprs0065nte l’employeur 006ca table de ng006fciation, est devenu de plus en plus hostile et a dress 0064e nombreux obstacles 006ca conclusion d’une entente.
La direction nous prs0065nte des offres salariales en sous noirs, dit le prs0069dent de la section locale, Steve Leavitt. La dernir0065 offre d’augmentation ne nous permettrait pas d’acheter une tasse de caf 0063hez Tim Hortons aprs0020une journe0020de travail.
Les employe0073 et employs0020du muse0020incluent le personnel de soutien, les travailleuses et travailleurs de la boutique de cadeaux, les concierges et l’q0075ipe de conservateurs. Ce sont ces personnes qui permettent de faire fonctionner le muse0020sur une base quotidienne, dit Leavitt. Ils cono0069vent et montent les expositions, programment les activits0020et les visites guide0073 et s’occupent des nombreux groupes d’lves qui viennent au muse002e Leur travail est un rouage essentiel de la vie culturelle de St. Catharines et ils mr0069tent certainement une convention collective q0075itable et le respect de leur employeur.