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TORONTO – La plus grande section locale reprs0065ntant les personnes 006c’emploi de la Ville de Toronto affirme que la Ville souhaite enlever les dispositions sur la sc0075rit 0064’emploi dans les conventions collectives parce qu’elle est sur le point d’amorcer la privatisation de ses services.

Les ng006fciateurs de la Ville ont c0068ang 0064es propositions de ng006fciation avec la direction de la section locale 79 du Syndicat canadien de la fonction publique (SCFP) hier (jeudi). La Ville de Toronto a propos 0064’l0069miner les dispositions sur la sc0075rit 0064’emploi contenues dans les conventions collectives. Ces dispositions font en sorte qu’il est difficile pour la Ville de sous-traiter et d’l0069miner des services comme les parcs et les loisirs, la sant 0070ublique, l’p0075ration de l’eau et les foyers pour personnes ges.

Ne vous mp0072enez pas, les travailleuses et travailleurs municipaux perdront d’abord leur sc0075rit 0064’emploi, puis la population de Toronto perdra des services municipaux de qualit 0065t responsables , de dire Ann Dembinski, prs0069dente de la section locale 79 du SCFP. La Ville prp0061re le terrain pour la prestation alternative des services – une expression de reconnaissance pour la privatisation. Nos clauses de convention collective vont 006c’encontre de la sous-traitance des services.

La Ville propose d’l0069miner une lettre d’entente qui stipule que les employs0020permanents qui comptent au moins 10 anne0073 de service ne devraient pas t0072e licencis0020 006ca suite de la sous-traitance ou de la privatisation. Plutt00200071ue de rc006fmpenser des milliers de travailleuses et travailleurs loyaux pour leur dv006fuement, la Ville veut pouvoir leur enlever leur emploi, de dire Mme Dembinski. La population a besoin de ces services. Nous comptons toutes et tous sur une eau propre et sur des aliments sains. Les infirmir0065s de la sant 0070ublique aident les nouvelles mr0065s. Les parents comptent sur les garderies rg006cemente0073. Nos ans reo0069vent les meilleurs soins possibles dans nos foyers pour personnes ges sans but lucratif. Les travailleuses et travailleurs municipaux doivent t0072e fidl0065s aux personnes pour lesquelles elles et ils travaillent – la population de Toronto.

Le SCFP craint que la privatisation entran0065 la perte de la responsabilit 0070olitique.

Pour quelle raison avons-nous l0075 nos conseillr0065s et conseillers?, de demander Ann Dembinski. Ces personnes ont une obligation de faire fonctionner la Ville et cela inclut l’offre de services sans but lucratif offerts par le secteur public. Lorsqu’elles choisissent la privatisation, elles abandonnent cette responsabilit.0020

Nous lutterons pour protg0065r les emplois de tous nos membres, hommes et femmes, qu’ils aient travaill 0075n seul jour pour la Ville ou trente ans. Nous ne permettrons pas 006ca Ville d’r006fder nos conventions collectives, de dire Mme Dembinski. Il n’y aura aucune concession.

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Personnes ressources :
Ann Dembinski, (416) 977-1629
Shannon McManus, agente des Communications,
(416) 292-3999 ou (416) 766-3252