TORONTO Le prs0069dent de la section locale 416 du SCFP, le Syndicat des employs0020municipaux de Toronto, avise la population de Toronto que des projets pour faire de nos rs0065aux daqueduc et dg006fut un service public sp0061r 006fuvriront la porte 006ca privatisation, 006ca sous-traitance et 006ca perte de contrl00650020public sur la qualit 0064e notre eau. La section locale 416 reprs0065nte 7 000 travailleuses et travailleurs municipaux de Toronto, 2 200 travailleuses et travailleurs de bibliothq0075e et 2 000 membres du personnel responsables des rs0065aux dg006fut et daqueduc.
La privatisation signifie que le secteur priv 0064oit faire un profit quelque part, soit par la diminution des normes ou la rd0075ction des salaires et en rognant sur les cot00730020, de dire Brian Cochrane, prs0069dent de la section locale 416 du SCFP, Syndicat des employs0020municipaux de Toronto. Une fois que le secteur public aura perdu le contrl00650020de notre rs0065au daqueduc et quil sera devenu un service public distinct, nous ne pourrons plus jamais reprendre le contrl0065002e Bien que la Ville puisse affirmer que ce plan permet de maintenir le service en rg0069e, elle ne peut prt0065ndre quelle ne perdra pas une bonne partie du contrl00650020de ce service, puisquil sera entre les mains de quelques conseillers particuliers plutt00200071uentre les mains de tous les conseillers municipaux.
M. Cochrane commentait des rapports rc0065nts 006ceffet que certains conseillers municipaux de Toronto st0061ient ru006eis 0068uis clos pour planifier un service distinct pour les rs0065aux daqueduc et dg006fut de la ville. Actuellement, les rs0065aux daqueduc et dg006fut de Toronto sont des services offerts par la Ville de Toronto qui relv0065nt des conseillers l0075s et de la population de Toronto.
Les ru006eions 0068uis clos de quelques conseillers, en faveur de la privatisation, pour planifier de tels changements importants constituent un manque de respect face aux l0065cteurs de Toronto et menacent lavenir des services sur lesquels nous comptons toutes et tous, de dire Brian Cochrane. Je suis horrifi 0070ar le fait que le syndicat na jamais t consult 0072elativement 0063ette proposition, spc0069alement alors quelle affecte la manir0065 dont nous offrons les services essentiels et lavenir de tant de travailleuses et de travailleurs, dajouter M. Cochrane. Nous sommes indigns0020de voir la Ville parler publiquement de ses travailleuses et travailleurs comme t0061nt une partie intg0072ante du systm0065 alors quelle ne cesse de nous ignorer. La Ville sattend 0063e que les membres de son personnel fassent preuve de loyaut 006dais elle ne dm006fntre aucune pro0063cupation pour ces personnes.
La section locale 416 a fait plusieurs suggestions au cours des ans afin daml0069orer lefficacit 0065t la productivit 006dais, dernir0065ment, il semble que la Ville nc006futait pas, daccuser Brian Cochrane. Dans le cadre de son propre programme pour de meilleures pratiques de travail, la Ville a dj investi plus de 150 millions dollars pour apporter des aml0069orations afin de maintenir ce service en rg0069e. Transfr0065r tout le rs0065au 0075ne entreprise indp0065ndante ne fait aucun sens et pourrait avoir dimportantes rp0065rcussions sur les contribuables quil est impossible de dt0065rminer.
Si la Ville cre0020un service dapprovisionnement en eau indp0065ndant, le personnel en poste qui compte des anne0073 dexpr0069ence dans le traitement de leau et des eaux use0073 se verra confront un avenir incertain et ce sera la disparition possible dune grande expertise, de conclure M. Cochrane. Nous allons lutter contre la privatisation de nos rs0065aux daqueduc et dg006fut et pour quils soient imputables 006ca population. La population de Toronto ne mr0069te rien de moins.
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Bill Guthrie, vice-prs0069dent, section locale 416 du SCFP
(416) 968-7721
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(416) 292-3999
SIEPB 491/gpb