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Cette étude examinera les conséquences, pour la population de Toronto, de la transformation de la distribution au détail de l’énergie électrique proposée en vertu de la Loi sur la concurrence dans le domaine de l’énergie (loi 35). La loi oblige la Commission hydroélectrique de Toronto, une organisation distributrice de l’électricité au prix coûtant, de se convertir en Hydro-Toronto, une société par actions qui doit faire des profits pour la ville sur le capital utilisé. La privatisation d’Hydro-Toronto est maintenant à l’étude au conseil municipal mais la loi 35 permet une privatisation totale ou partielle. Nous examinerons les conséquences de trois régimes alternatifs pour la population de Toronto, tant comme consommateurs d’électricité qu’en tant que propriétaires d’Hydro-Toronto. Une est la coopérative de consommation qui est maintenue jusqu’à ce que la loi 35 prenne effet. La deuxième est une Hydro-Toronto créée en vertu de la loi 35 et dont la ville est propriétaire; la troisième est une Hydro-Toronto privatisée.(1)


Notes

  1. Pour effectuer cette étude, l’auteur a pu utiliser des informations qui lui ont été fournies aimablement par Catherine Nolan, d’Hydro-Toronto, et par Deborah Penn, de l’American Public Power Association; il a également bénéficié de l’aide de Kevin Taft.