Mark Hancock, président national du SCFP, s’est joint aux travailleurs et travailleuses des services à l’enfance de première ligne, aux militants syndicaux, aux représentants des Premières Nations, aux gardiens et gardiennes d’enfants en milieu familial et aux chercheurs dans le domaine des services de garde à l’enfance de tout le Canada, à Ottawa, mardi, à l’ouverture d’une table ronde nationale de deux jours sur les services de garde à l’enfance. L’ouverture de cet événement a mis en vedette Karen McKinnon, une aînée autochtone, qui a demandé à tous les participants de se tenir la main afin de réfléchir sur l’importance de travailler ensemble pour comprendre ce dont nos enfants ont besoin.

« Nous profitons de cette occasion pour être de vrais alliés des peuples autochtones », a déclaré Mark Hancock, président national du SCFP, dans son discours d’ouverture, dans une salle remplie de militants et de travailleurs et travailleuses des services à l’enfance. « Vos idées et vos réflexions nous aideront à faire pression sur les gouvernements du Canada pour qu’ils collaborent avec les peuples autochtones à la mise en œuvre de services de garde et de programmes d’apprentissage de la petite enfance qui répondent aux besoins des familles et des communautés autochtones. »

L’allocution de Hancock a été suivie du premier groupe de discussion qui a commencé à examiner les façons dont la politique de services de garde à l’enfance du SCFP peut soutenir l’appel à l’action de la Commission de vérité et de réconciliation pour élaborer des programmes d’éducation de la petite enfance qui conviennent aux familles autochtones sur le plan culturel.