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BURNABY – Les syndiqués SCFP dans le domaine du soutien éducatif s’inquiètent de voir certaines commissions scolaires annuler ou déplacer des récréations, malgré une consigne des services essentiels obligeant le personnel exclu (comme les cadres et les gestionnaires) à effectuer ces tâches de supervision.

« Les commissions scolaires doivent respecter les conventions collectives et les services essentiels, a déclaré le président du SCFP-C.-B., Mark Hancock. La Commission des relations de travail a statué que les cadres et le personnel exclu doivent remplacer les enseignants dans ces activités, autant que possible ».

Les sections locales du SCFP se préoccupent aussi du sort des aides-enseignantes, qui pourraient perdre des heures de travail si les commissions scolaires annulent ou déplacent les récréations afin de diminuer les besoins en surveillance.

« Les aides-enseignantes ne doivent pas payer le prix des choix des commissions scolaires, ajoute M. Hancock. Et on ne devrait pas priver les enfants de leurs récréations. »

Les sections locales du SCFP veilleront à ce qu’il n’y ait aucune infraction aux conventions collectives; elles déposeront des griefs le cas échéant.

M. Hancock souligne que le SCFP appuie pleinement les enseignants qui cherchent à conclure une convention collective juste et raisonnable. En outre, le syndicat demandera des comptes aux commissions scolaires sur le sort qu’elles font subir aux employés de soutien éducatif.

Pour en savoir plus, contactez :

Rob Hewitt
conseiller néational du SCFP
 1-250-859-1963

Janet Szliske
conseillère du SCFP aux communications
  604-454-7293