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Le plus gros syndicat canadien exhorte le premier ministre Stephen Harper à agir personnellement et immédiatement afin d’assurer le retour au pays du journaliste Mohamen Fahmy. Le Syndicat canadien de la fonction publique ajoute ainsi sa voix à celles des organismes de protection des droits de la personne et de la liberté de la presse qui réclament le rapatriement de M. Fahmy, que l’Égypte a condamné injustement à la prison pour ses activités de journaliste.

« Le SCFP accorde beaucoup d’importance à la protection des droits de la personne, chez nous comme ailleurs dans le monde, a déclaré le président national du SCFP, Paul Moist. La condamnation de Mohamed Fahmy constitue un outrage à la liberté de presse, principe fondamental de toute démocratie. »

Au nom des 633 000 membres du SCFP, M. Moist a demandé au premier ministre Harper, par lettre, d’entrer personnellement en communication avec le président égyptien al-Sisi pour réclamer le rapatriement immédiat de M. Fahmy au Canada.

M. Moist, tout en reconnaissant les efforts déjà déployés par le Canada pour défendre le journaliste, réclame des mesures supplémentaires. « Défendre la primauté du droit et protéger nos concitoyens, c’est l’essence même de l’identité canadienne », écrit-il.

Pour en savoir plus, visitez le site Internet de Journalistes canadiens pour la liberté d’expression (en anglais seulement).

Lisez la version intégrale de la lettre qu’a adressée Paul Moist au premier ministre Harper (en anglais seulement).